Une nouvelle est un récit court. À
l'origine de la longueur d'un paragraphe, il pouvait de ce fait être publié aussi bien dans les journaux qu'en recueil.
Apparu à la fin du Moyen Âge, ce genre littéraire était alors proche du roman et d'inspiration réaliste1, se distinguant peu du conte. À partir du xixe siècle, les
auteurs ont progressivement développé d'autres possibilités du genre, en
s'appuyant sur la concentration de l'histoire pour renforcer l'effet de
celle-ci sur le lecteur, par exemple par undénouement surprenant. Les thèmes se
sont également élargis : la nouvelle est devenue une forme privilégiée de
la littérature fantastique, policière, et de science-fiction. L'influence d'Edgar Poe sur le genre est à cet
égard primordiale.
Bâdi al-Zamâne
al-Hamadhani, auteur iranien (de HAMADAN ancienne capitale de la Perse) du xe siècle passe
pour être l'inventeur de la « nouvelle »2, ou tout du moins son précurseur à travers le maqâma3.
En France, la nouvelle
prend naissance au Moyen Âge. Elle vient s’ajouter, et
en partie se substituer, à une multitude de récits brefs : fabliaux, lais, dits, devis, exemple, contes, etc. Les nouvelles étaient d'abord de
petites histoires anonymes distribuées gratuitement dans la rue, et qui se
distinguaient en deux groupes : les "exemplums", qui étaient des
récits religieux prêchant la morale et les dons à l'église, et les
"canards", racontant des faits divers comme des vols, des tromperies,
ou des meurtres. Ces derniers ont donné aujourd'hui le mot argotique désignant
le journal, qui lui-même rapporte des faits divers. Directement inspiré du Décaméron (1349-1353) de Boccace, le premier recueil de
nouvelles françaises, anonyme, les Cent Nouvelles nouvelles, est probablement paru entre 1430 et 14701.
Mais c’est le xvie siècle qui
voit le véritable essor du genre. En 1558, avec L'Heptaméron, Marguerite de Navarre donne au genre ses premières lettres de noblesse : dans ce
recueil inachevé de 72 récits4, voisinant avec les récits licencieux hérités des fabliaux, on
trouve des histoires plus graves, où l’anecdote laisse en partie la place à
l’analyse psychologique.
Schéma Narratif :
Situation Initiale : Mohammed vit tranquilement avec ses parents et se laisse
plonger dans son monde fantastique , le monde du rêve que sa boite à merveilles lui garanti lors des moments de solitude.
Elément perturbateur : le pére s’est fait ruiné par ce qu’il a perdu son argent quelques
part dans le Souk , donc la famille risque de souffrir la misére .
Péripéties : le pére quitte la ville pour
travailler à la campagne dans un travaille pénible permettant de garantir le
minimum de vie pour Mohamed et sa mére , cette derniére consulte le voyant sur le malheur qui
entoure sa famille
Dénouement : le retour du pére à la maison
Situation finale : équilibre de la l’état
financiére et morale de la famille .
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